etats totalitaires

Où l’on explique, peut être, un moyen simple, fiable et peu onéreux de mettre fin à la dictature des états totalitaires et de rétablir paix, amour et justice en ce monde


« Adieux, je quitte sans regret cette vallée de larme… etc. Tel est la tournure classique qu’emploient les désespérés traditionnels pour introduire leur fin. Si ces gens meurent, c’est souvent qu’ils n’ont plus les pieds sur terre mais la corde au cou, mais aussi car ils ne supportent plus la nourriture industrielle ni l’injustice que subissent tant d’innocents de par le monde.

Car, en ce siècle glorieux pour la progression de la civilisation et des troupes Américaines en Iraq, on trouve toujours des gouvernements despotiques qui imposent leur volonté afin de satisfaire des besoins personnels car selon eux « ce n’est pas la rue qui gouverne ». Ecrasé sous les taxes et les voitures des autorités gouvernementales, la population affamée la population ne subsiste plus que grâce aux pommes de terres.

En effet les pommes de terre se produit à faible coût et pousse a peu près partout si on s’en occupe bien. Le fait qu’elle soit très prisée des peintres en nature morte en fait le patrimoine culturel et artistique de tout peuple oppressé. Un autre de ses atouts et de provoquer la joie, d’ailleurs nous considérons tous la pomme de terre comme le cadeau idéal pour un anniversaire (je n’ai jamais vu une personne triste après avoir reçue une enveloppe de 100 patates).
Apres il est vrai que comparé à la pomme de pommier, la pomme de terre ne fait pas le poids, car cette première jouit d’une grande notoriété, surtout chez les étudiants suisses en balistiques et on en tire des compotes de meilleures qualités.
De plus la patate, sournoise, se cache sous terre ce qui la rend difficile d’accès au grabataire édenté qui ne se nourris plus que de purée et risque donc, a cause de la bestialité de ce féculent, de mourir de faim. Ce, pendant que les cerises sont bien en vues en haut des arbres alors si c’est pour que nos vieux n’aient plus la frite, je dis non aux pommes de terres.

Certains me diront alors que tout ce déballage alimentaire n’a plus grand-chose à voir avec les despotes qui massacrent, torturent, pillent, jouent au golfe, emprisonnent et exécutent. C’est tout a fait vrai et j’ajouterait, après m’être excusé auprès des familles oppressés et des prisonniers politiques, torturé dans des caves par le régime, que dans mon titre j’ai mis « peut être ».